Par
Rudyard Kipling
(Traduit de l'anglais par Albert Savine)
Paris
Nelson, Éditeurs
189, rue Saint-Jacques
Londres, Édimbourg et New-York
A MON AMI
THÉODORE CHÈZE
En bon souvenir.
A. S.
Pages | |
Rudyard Kipling et les «Simples Contes des Collines» | 9 |
Trois et… un Extra | 15 |
Lancé à l'Aventure | 27 |
Le Saïs de Miss Youghal | 49 |
Unie à un Incroyant | 65 |
Aurore trompeuse | 77 |
Le Sauvetage de Pluffles | 99 |
Les Flèches de Cupidon | 113 |
Sa Chance dans la Vie | 125 |
Montres de Nuit | 139 |
L'Autre | 153 |
Conséquences | 163 |
La Conversion d'Aurélien Mac Goggin | 177 |
Les trois Mousquetaires | 191 |
Un Destructeur de Germes | 207 |
Enlevé | 221 |
L'Arrestation du Lieutenant Létourdi | 235 |
Dans la Maison de Suddhoo | 249 |
Sa Femme légitime | 269 |
Quand Rudyard Kipling, en 1888, publia àCalcutta la première édition des Simples Contesdes Collines, il n'avait que vingt-quatre anset son bagage littéraire se composait d'un seullivre, les Departmental Ditties (Chansons administratives),vers de circonstances et de société,qui avaient fait bien augurer de son avenirlittéraire.
Né à Bombay en 1864, il était, comme on lesait, le fils de John Lockwood Kipling, directeurde l'école des Beaux-Arts de Lahore. Il avait étéélevé en Ang